Galerie photos des coiffures historiques

L’Egypte Ancienne

3800 avant J.C. – 30 après J.C.

La coiffure était la parure la plus riche de l’habillement. Elle était le symbole par excellence de la séduction et de l’érotisme féminins.

Le raffinement et le traitement de la chevelure étaient consacrés au culte d’Hator, déesse de l’amour, de la joie et de la danse.

Le  »henné » était utilisé abondamment ainsi que des huiles et des cosmétiques odoriférants.

Le  »Khôl » servait à protéger les yeux des infections et des insectes.

Le barbier ne possédait pas de local. Il se rendait à pied de village en village et s’installait dans un endroit en plein vent, sous un arbre. Il attendait les clients pour les raser et leur couper les cheveux.

La barbe postiche du Pharaon s’attachait aux oreilles par un lacet. Les prêtres avaient le crâne rasé en signe de pureté.

LA GRECE ANTIQUE

1100 avant J.C. – 350 après J.C.

La coiffure grecque, aux lignes très pures, a influencé plusieurs périodes de l’histoire.

Les chevelures étaient enduites d’huile de baies et de feuilles de laurier, ce qui donnait souplesse & brillance aux cheveux. Le blond était recherché et passait pour être la couleur de cheveux d’Aphrodite.

Le parfum était considéré comme le meilleur remède contre les maladies contagieuses. On se frottait le corps avec de l’huile parfumée.

Les grecs n’appréciaient la pilosité: ils se rasaient et s’épilaient le visage, les aisselles, les bras, les jambes soit avec des de mixtures, soit à la lampe ou bien encore avec une pince.

Pendant leur bain, les grecs se raclaient la peau pour la décrasser avec un strigile, sorte de grattoir.

Les femmes se fardaient de céruse (pigment blanc à base de plomb, très toxique servant à fabriquer un fard blanc), noircissaient leurs sourcils et se coloraient lesq paupières, les lèvres, les joues avec du fard à base d’orcanette (plante dont la racine rouge servait en teinture.

LA ROME ANTIQUE

600 avant J.C. – 500 après J.C.

Les Romaines arboraient des coiffures théatrales réalisées avec des bouffants, des crêpons, des frisures, des tresses.

Pour faire tenir ces coiffures, elles utilisaient des épingles à cheveux de toutes tailles (14cm pour les plus longues). Elles étaient en os, en bronze, en argent avec des têtes de formes très variées.

Ovide relate que la toilette d’une femme demande mille soins, milles esclaves, dont chacune avait sa spécialité: l’une préposée au pommades, aux parfums; une autre pour réunir les fins sourcils par un trait d’antimoine; d’autres pour faire la guerre aux cheveux blancs ou pour polir les jambes à la pierre ponce…

Les femmes portaient souvent un voile sur leur chevelure, précepte apostolique. Celui ci peut être de différentes couleurs, celui de la mariée est de couleur safran.

Les grecs n’appréciaient la pilosité: ils se rasaient et s’épilaient le visage, les aisselles, les bras, les jambes soit avec des de mixtures, soit à la lampe ou bien encore avec une pince.

Pendant leur bain, les grecs se raclaient la peau pour la décrasser avec un strigile, sorte de grattoir.

Les femmes se fardaient de céruse (pigment blanc à base de plomb, très toxique servant à fabriquer un fard blanc), noircissaient leurs sourcils et se coloraient lesq paupières, les lèvres, les joues avec du fard à base d’orcanette (plante dont la racine rouge servait en teinture.

LE MOYEN AGE

Vème Siècle -XVème Siècle.

Il n’était pas facile de se faire une idée précise des coiffures féminines du moyen-âge.

La plupart du temps, les femmes étaient recouvertes d’une coiffe ou d’un chapeau.

Pour la cour, cette période était riche en chapeaux très ornementés. Quant au peuple, c’était une protection quotidienne indispensable contre les intempéries.

Les jeunes filles portaient les cheveux flottants pour se rendre à des réjouissances, des mariages… C’était un signe de virginité.

Sous le règne de Saint Louis, l’âge minimum pour se marier était de 14 ans pour les garçons et 12 ans pour les filles.

Pour la plupart des coiffures, les cheveux étaient tressés. Pour les coiffures tombantes, une lourde bague permettait à la tresse d’être très droite.

C’était la période des étuves et des bains publics, où hommes & femmes se baignaient et mangeaient. Ce qui à provoqué la propagation des grandes épidémies (peste, choléra, typhoïde).

LA RENAISSANCE

De 1450 à 1610.

La Renaissance est un mouvement né en Italie, qui tend à ressusciter les valeurs de l’Antiquité, du beau, du luxe, de l’élégance. Le théâtral est de mise.

Les femmes blondes, rares, plaisent d’avantage et sont les premières courtisées. Pour blondir les cheveux, les femmes utilisaient diverses recettes dont celle qui consistait à exposer leur chevelure mouillée d’une eau spéciale, à base de soude, pendant des heures au soleil.

Pour ne pas avoir le teint coloré par le soleil, elles utilisaient un chapeau de paille sans fond qui ne laissait sortir que la chevelure. Le résultat obtenu était un blond foncé cuivré.

Catherine de Médicis lança la mode des  »fraises » vers 1555 qui au fil du temps, s’élargissent (jusqu’à 23 cm du coup) ce qui obligeait à avoir les cheveux relevés en chignon.

La coiffure en  »cœur » s’agrémentait de l’attifet, (petite calotte de forme triangulaire), recouverte de broderies, de pierreries, s’avançant en pointe sur le front.

Les balaux étaient des épingles ornées de pierreries que l’ont parsemé dans la chevelure.

EPOQUE LOUIS XIII

De 1610 à 1643.

Les précieuses, dames du grand monde vers 1630, désirent se distinguer du vulgaire par la dignité des mœurs, l’élégance de la tenue, la pureté du langage.

Les conversations se passent dans les ruelles, c’est à dire autour du lit.

Il est préconisé d’utiliser un mouchoir de col pour protéger le haut de la poitrine provocante.

Élément de l’habillement, le masque protège le teint des agressions du soleil.

Les soins de l’époque sont la saignée et le clystère (nom ancien donnée au lavement). L’enseigne du barbier-perruquier est le bassin blanc, celui du chirurgien est le bassin jaune. Les barbiers sont les médecins du petit peuple, toujours en conflit avec les chirurgiens.

Le premier coiffeur pour dames s’appelle  »Champagne ».

Les hommes portaient le chapeau à trois gouttières garni de plumes.

EPOQUE LOUIS XIV

De 1643 à 1715.

En présence du roi, par respect, les hommes gardaient leur chapeau à la main; seul le roi pouvait le porter sur la tête.

Pour l’étiquette, les hommes devaient avoir des talons de chaussures rouges.

On ne frappait pas à la porte. On grattait.

Deux oppositions: extrême raffinement de l’habillement et manque total de propreté et de commodité.

Les mains étaient peu lavées.

Le parfum masquait les mauvaises odeurs.

L’identité est le privilège des riches. Les gens se reconnaissent par leur patois, leur accent et leur dialecte; ils s’appellent entre « pays »; la population ne sait ni lire, ni écrire.

A la Cour, régnait la passion des jeux de hasard et de loterie royale; le roi laissait faire car il voyait là un moyen de domestiquer la noblesse qui s’y ruinait en se l’attachant par des pensions.

Dans la chevelure, les grandes épingles prenaient le nom de guêpe ou de papillon.

Le peigne s’appelait  »dédale ».

EPOQUE LOUIS XV

De 1715 à 1774.

Les hommes se parent de dentelles. On en trouve sur les cols, les jabots, les chemises, les canons (genre de jarretière).

Pour le nettoyage de la chevelure, la coiffeuse se sert d’un décrassoir, peigne à dents très serrées et applique un sable très fin (le sablon) pour absorber la crasse.

A la Cour, il fallait avoir un teint de lys, de rose. Le visage était rendu blanc par l’application de la céruse, puis poudré, ce qui donnait l’illusion de propreté.

Ce cataplasme permettait d’absorber les sécrétions de la peau et de masquer la petite vérole.

Les lèvres et les joues étaient de couleur carmin: il fallait avoir le « feu aux joues ».

Pour terminer le maquillage, il fallait semer, avec une fantaisie provocante, des mouches, petits morceaux de taffetas gommé, imprégnés de matières adhésive . Suivant leur emplacement, elles prenaient un nom et une signification précise.

EPOQUE LOUIS XVI

De 1774 à 1792.

Tout gentilhomme doit savoir sourire avec finesse et priser avec grâce.

Les almanachs de mode avaient une grande importance pour la divulgation de la mode; ils étaient exportés dans le monde entier avec des poupées habillées et coiffées à la dernière mode.

A cette époque, on se parfumait beaucoup; les femmes mettaient des sachets de senteur ou de petits coussinets de soie remplis de coton parfumé dans les plis de la robe prévus à cet effet.

Le matin, il y a deux toilettes: la première dite de propreté, intime (essuyage des mains et du visage à l’eau vinaigrée); la deuxième, avant de se présenter dans le monde, on s’y fait coiffer, on y accueille les visiteurs, les marchandes de mode qui présentent les dernières nouveautés.

Pour le maquillage, on utilise de la céruse, produit toxique rendant les dents noires et les déchaussant avec une haleine repoussante.

La femme emploie la moitié de sa journée pour pouvoir être en état de se montrer.

LA PREMIERE REPUBLIQUE 

De 1792 a 1799.

La Convention Nationale :

Après les horreurs de la Terreur, commence une période de plaisir, de bals.

L’incohérence gouverne la mode.

Les Petits-maîtres avaient des façons efféminées, les incroyables étonnaient par leurs accoutrements, les Muscadins se parfumaient au musc.

Tout ces jeunes gens aux manières précieuses et habillés avec originalité sont à l’origine des Bals des Victimes: pour être admis dans ces bals, on devait avoir eu un proche parent guillotiné pendant la révolution.

Les coiffeurs de l’époque sont les macaronis.

Le théâtre influence, répand et crée les modes.

La coiffure « à la Titus » ou « à la porc-épic » était portée aussi bien par les femmes que par les hommes.

Les tuniques en drapé vaporeux, en mousseline, descendent jusqu’aux souliers. Montrer ses pieds nus semblait être considéré comme un acte impudique, indécent.

Les coiffures et les vêtements frisaient le grotesque et la caricature.

Le Directoire :

Les femmes s’habillent à l’antique, les robes laissent voir les formes du corps avec une ceinture haute, un ruban servant de maintien sous la poitrine.

La toilette est la principale préoccupation.

On vivait avec un siècle de retard: l’évolution de toute chose se diffusait très lentement dans les provinces.

Le port de la perruque est abandonné de 1791 à 1799.

A cette époque, on se coiffait « à la patriote », « à la nation », « aux charmes de la liberté sans redoute ».

Les hommes ont des coiffures avec des favoris très bas sur les joues, des pattes de chien et une tresse (cadenette) au milieu de la nuque.

Ils portent des lunettes, le lorgnon, la badine, le boléro et le spencer à la cambrure.

Les écharpes montent très haut autour du cou.

LE PREMIER EMPIRE

De 1804 a 1815.

Dans l’armée de Napoléon Bonaparte, de nombreux habits étaient inspirés des Incroyables et des Merveilleuses (courant de mode de la France du Directoire caractérisé par sa dissipation et ses extravagances, en réaction à la sombre tristesse qu’avait répandue la Terreur).

Le romantisme prend la relève avec le « Dandysme » et le « Fashionable » importés de la mode anglaise.

Prendre le thé après la valse était de mise.

La disparition de la poudre dans la chevelure provoque des plaintes: la réalisation de certaines coiffures présente plus de difficultés.

Les femmes se doivent d’étaler de luxueux atours: elles ornent leur chevelure de bijoux, de diadèmes portés très en avant sur le front, de résilles de perles et de longues épingles d’or.

La chevelure est dégraissé avec du son.

La forme des chapeaux varie selon le rang social, l’âge et la fortune.

C’est la mode des châles très légers, en cachemire de Perse, bordés de franges: ils se portent sur les épaules ou noués en turban autour de la chevelure.

EPOQUES LOUIS XVIII, CHARLES X

De 1814 à 1830.

Les coiffures anglaises remplacent les coiffures gréco-romaines.

Le choix des chapeaux est très important: plus de 1000 formes ont été référencées.

Dès 1824, sous le règne de Charles X, c’est le retour des manières de l’ancienne Cour.

En 1829, sous l’influence du romantisme, apparaissent les chignons nattés en cinq, six, sept, neuf ou onze branches; les côtés de la coiffure sont dits en « langue de chat ».

Début des chapeaux capotes avec les pans rabattus vers le visage par deux brides appelées « barbe ».

De nombreuses modes nouvelles apparaissent, la création est très florissante. Les femmes changent très souvent de robes, même pendant la journée. L’apparence est primordiale.

C’est la mode des manches « gigot ».

A partir de 1830, retour au teint diaphane, les femmes doivent être pâles, langoureuses, la poudre allégée; le maquillage doit tendre vers la simplicité.

EPOQUE LOUIS-PHILIPPE.

De 1830 à 1848.

Pour les hommes, après la mode des cheveux courts, vient la mode des chevelures plus abondantes avec les « rouflaquettes ».

Vers 1840, les bonnets apparaissent de toutes les formes, à la fois coquets, légers, vaporeux et toujours ornés de grappes de fleurs.

Les femmes portent le corset, la taille fine est de rigueur.

Les robes sont amples avec de nombreuses fioritures. Les paniers et les vertugadins (bourrelet porté autour de la taille pour faire bouffer la jupe au niveau des hanches) annoncent la naissance des crinolines, robes ballonnées et manches gigots.

Il suffit d’une minuscule cuvette et d’un pot d’eau pour se laver. Les porteurs d’eau sont toujours présents avec leurs seaux suspendus aux épaules.

Les domestiques doivent être présents 24 heures sur 24, n’ayant jamais de permission; on ne concevait même pas qu’ils puissent avoir des goûts ou des opinions.

En 1836, c’est la fin de l’éclairage à la bougie et le début de l’huile jaune.

En diligence, il faut trois jours pour aller de Paris à Dijon.

EPOQUE NAPOLEON III.

Second Empire

De 1852 à 1871.

C’est une époque de grande gaieté; beaucoup de bals, de réceptions, de soirées sont organisés avec de belles toilettes.

La Cour est royale, frivole. Les attitudes des femmes sont gracieuses, geste de lassitude, le bon ton était la mélancolie.

Les femmes portent des robes à crinoline composées d’une cage en fer pour élargir les vêtements et couvrir les pieds.

En 1868, la crinoline est remplacée par la demi-crinoline appelée « tournure ».

La mantille et l’éventail demeurent des accessoires indispensables pour compléter une toilette.

Le savon est utilisé pour la toilette du corps, tandis que pour la chevelure, la meilleure méthode reste l’action desséchante de la poudre de son.

Les coiffures plates en bandeaux lisses, avec de lourds chignons de nuque, se nomment « à l’impératrice.

Les hommes ont des cheveux pommadés, mi-longs sur les oreilles.

Ils portent la barbe dite « à l’impériale », les favoris (appelés les « côtelettes ») et les moustaches cirées.

BELLE EPOQUE.

IIIème République

De 1871 à 1914.

La « Belle Epoque », c’est l’époque où tout est radieux pour les classes aristocratiques et bourgeoises.

Paris est la capitale de la mode. Tous les domaines, entre autres, économiques, scientifiques, les arts et les lettres, sont en pleins développement.

La coiffure, grand symbole de séduction, est imposante et n’est pas sans analogie avec les coiffures Louis XVI.

Les femmes portent la coiffure dite « à la Goulue ». Seules les ouvrières sortent en cheveux, c’est à dire sans chapeau.

Pour les hommes, c’est l’apogée du légendaire « Panama » importé de l’Equateur.

Pour se laver les cheveux, la méthode la plus utilisée est un mélange de bicarbonate de soude, de bois de panama et de savon noir.

La robe doit faire riche, c’est pourquoi on rajoute des fleurs, des fourrures.

Le chapeau rond est réservé aux demoiselles. Le lendemain du mariage, l’épousée porte un grand chapeau.

Le premier shampoing moderne apparaît vers 1904.

En 1912, une femme de 45 ans est considérée déjà âgée.

La mode suit l’onde de choc de la Grande Guerre et s’en trouve perturbée.

René Rambaud réalise la première ondulation en boucle: la mise en plis.

La taille des chapeaux se rétrécit: c’est la mode des turbans, des toques hautes, des voilettes sur les chapeaux avec une aigrette ou une petit e plume.

La céruse pour blanchir la peau devient totalement interdite.

La propreté de la chevelure était souvent réalisée par un brossage soigné. Il était ajouté à celui-ci des huiles, des pommades… pour fortifier et soigner la chevelure.

Les femmes gardaient leurs cheveux de coupe, de coiffage pour les faire monter en postiche.

Simplification des lignes des vêtements du fait de la pénurie des tissus.

Vers 1942, c’est le début de la disparition du corset.

Les shampoings étaient fabriqués par les coiffeurs eux-mêmes.

LES ANNEES FOLLES.

IIIème République

De 1920 à 1929.

Pour le soir, la mise en plis se pratique de plus en plus pour les chevelures longues. Les coiffures de soirée sont soignées et s’ornent d’accessoires: barrettes, diadèmes, aigrettes.

Le jour, les femmes délaissent leur chapeau.

Le rouge à lèvre devient très rouge, rendant la bouche écarlate.

Les femmes se rasent les sourcils et les redessinent. Elles s’épilent les jambes.

La mode est au teint bronzé.

Le corset a complètement disparu. La mode est à la ligne « haricot vert », taille et poitrine gommées. La combinaison remplace le jupon, les ourlets sont raccourcis, les jupes se portent au dessus du genou.

Le vêtement, contrairement aux précédentes époques, ne différencie pas le rang social.

Pour combattre le rachitisme, le culte du soleil et le bronzage se développent et la première lampe à bronzer fait son apparition.

C’est le monde du jazz, du charleston et des sautoirs très longs. L’âge d’or s’arrête avec le krach boursier de 1929.

LES ANNEES TRENTE.

IIIème République

De 1930 à 1939.

En 1936, les congés payés (2 semaines / an)

changement le mode de vie.

La mode du plein air, des vacances, du bronzage,

du sport, des maillots de bain bât son plein.

Les vedettes de cinéma deviennent des idoles.

Le maquillage devient de plus en plus élaboré. Il en existe trois sortes: celui adapté au travail, celui du plein air et celui du soir. Les femmes ont les yeux charbonneux.

C’est l’apparition du vernis à ongles et la disparition des gants.

Les chapeaux, petits, se portent en biais sur le front, tombant sur l’œil. Ils sont agrémentés de fleurs, de rubans et de plumes d’oiseaux. La grande tendance du ruban tenu par six épingles se développe.

Le chapeau différencie la bourgeoise de l’ouvrière.

Les hommes portent le chapeau à la ville et la casquette à la campagne. Ils utilisent des onguent pour leur moustache et de la brillantine pour les cheveux.

LA SECONDE GUERRE MONDIALE

IIIème République

De 1939 à 1945.

La mode est au Système D.